Genre |Mouv. Lit |Thème/Sit. |Type |Registre |But(s) | |Roman d’amour |Litt moderne
Contemporaine
Revoltuioniste
Surréaliste
Absurde |Mort/religion
Enterrement
Burlesque |Descriptif
Narratif
Argumentatif indirect |pathétique satirique humour noir fantastique |provoquer critiquer | |
Plan
Le poète propose une ambiance qui cherche a inquiéter le lecteur
En proposant la description d’un environnement sombre
Champ lexical de couleurs sombres: “plantes sombres”, “Les feuilles des plantes tournaient au gris léger”, “un halo blanc, sans éclat”, “feuilles grises”
L’alourdissant des éléments de l'environnement : « seuls les feuilles grises se détachaient parfois pour tomber lourdement sur le sol ». On peut même voir des « meurtrissures bleuâtres » causés par les « lourdes chaussures » des porteurs.
Personnification de la nature: “les nervures ressortaient en or sur leur chair veloutée”, “Les arbres, longs et flexibles”
Un lieu fragile et sans structure: “le sol était poreux et friable”, “l’écorce spongieuse”, “des arbres malingres”
En présentant un monde mort et immobile
Contraste avec la vivacité du monde du début du récit
En présentant un monde sans son, pas de bruit à part les coups des poignées sur le cercueil de Chloé. : «les poignées de la boite noire sonnaient contre les parois. ». La Nature est en deuil elle aussi : « on n’entendait pas d’animaux ». Un fort lyrisme à travers le Nature qui se tait face au désespoir des personnages
Les arbres mêmes sont « malingres », c’est-à-dire qu’ils ont une apparence maladive Les plantes paraissent vêtus de leurs habits noirs : « Les feuilles des plantes tournaient au gris léger et les nervures ressortaient en or sur leurs chairs veloutés ».
En comparant l’itinéraire de Colin, Isis et Nicolas à un tunnel suffocant
Les arbres forment un plafond car ils sont repliés comme s’ils pleuraient : « les arbres longs et flexibles retombaient en arc d’un bord à l’autre du chemin ».
De plus deux haies encadrent