entre grandeur et misère
Avant toute chose il est important de signaler que la révolution industrielle fait naître une nouvelle classe sociale : les ouvriers.
Le travail dans les usines : fatiguant et dangereux.
Les industries grandissent de plus en plus et elles ont besoin de beaucoup de main-d’œuvre. Les ouvriers sont exploités par les riches patrons. Ils travaillent en moyenne 12 à 15 heures par jour. Ils n’ont ni congés, ni jours fériés. Le dimanche, ils travaillent pour entretenir le matériel qu’ils utilisent et dont ils sont responsables.
Le travail est dur, fatiguant et fait sans aucune sécurité (les accidents sont fréquents). mineurs au travail pendant 12 à 15heures !!!
Salaires de misère :
Les ouvriers gagnent 2 à 3 francs par jours. Le salaire des hommes ne suffit pas à faire vivre leur famille. Les femmes sont obligées de travailler pour gagner un peu plus d’argent, elles gagnent moins que les hommes (quelques cents). Même les enfants doivent travailler pour subvenir aux besoins de la famille et ils le font aux mêmes conditions que les adultes.
Du fait que les enfants travaillent, ils ne vont pas à l’école. Le résultat est que la plupart des personnes sont analphabètes. Les femmes et les enfants sont obligés de travailler
Conséquences de ces conditions de travail et des salaires faibles :
La vie dans des taudis :
La surpopulation ainsi que les bas salaires ne permettent pas aux familles de se loger dans de bonnes conditions. En général, les habitations sont délabrées, très petites, avec peu de fenêtres, sans eaux courantes et éclairées aux chandelles ou lampes à pétrole.
Pour les plus pauvres, ils vivent à plusieurs familles ou simplement dans des greniers ou dans des caves sans aucune hygiène. Logements sans confort
La malnutrition :
Les familles ne se nourrissent que de pain et de pommes de terre. Un petit morceau de viande pour l’homme de la famille quand il y en a.
La mauvaise santé :