que l’Université passe des accords avec plus de propriétaires particuliers pour « réserver » un plus grand nombre de chambres, en attendant une solution plus durable qui serait la construction de résidences universitaires proprement dites. On peut toujours rêver... 2) L’autre problème d’importance : le flou dans la faculté. La grande force d’Erasmus est sa souplesse dans le choix des cours à la carte. Je tiens à souligner cet aspect grandement positif. Cependant, son revers est aussi de taille : à l’arrivée à la faculté règne un flou déconcertant dans le choix des matières. Les coordinateurs français et étrangers se renvoient un peu la balle, ce qui est finalement normal, car aucun n’a toutes les cartes en main pour aider réellement efficacement l’étudiant dans ses choix. Ce défaut me semble difficilement soluble, je le signale néanmoins. Plus pragmatique, l’étudiante assistante Erasmus indique plus franchement le niveau des différentes matières, ainsi que les professeurs à éviter – notamment ceux qui n’expliquent rien ou ceux avec lesquels on ne comprendrait rien (certains sont difficilement intelligibles pour les étudiants locaux, donc pour le niveau de langue d’un étranger en début de séjour, c’est mission impossible !). Le flou est également à noter pour la partie administrative. Les étudiants défilent un à un à l’officine Erasmus, et doivent y retourner de nombreuses fois, pour expliquer les problèmes liés à leur cas personnel, mais finalement très similaire aux autres.Remède possible : Peut-être quelques dates ponctuelles de rendez-vous de tous les Erasmus de la Faculté simplifieraient- elles les démarches (évitant notamment une répétition des questions). Car sinon, il manque un cadre un peu plus rigide, ce qui amène certains étudiants à être informés de choses que d’autres ignorent etc. LES COURS : Il faut un temps d’adaptation pour la langue. Le double effort des