Ce texte d'Éric Weil, parle de l'Histoire, la réalité historique concerne l'évolution de l'humanité et donc de l'ensemble des hommes. Seul l'homme est doté d'une réalité historique, l'histoire des animaux à elle bel et bien était écrite par l'homme. L'être humain a une conscience, il possède la capacité de prendre en charge le passé, de s'orienter dans le temps et de se projeter dans l'avenir. L'histoire permet de créer une identité commune, et de définir des valeurs partagée par l'ensemble des hommes, tout ceci nécessité par un besoin social.
Nous étudierons donc dans un premier temps, le texte d'Éric Weil, phrase par phrase pour essayer de comprendre ce qu'il a voulu
Dans la première phrase du texte d'Éric Weil, est évoquée une fin possible de l'histoire qui serait liée à la fin de l'existence de l'humanité sur terre. Pour Weil l'homme est le centre et le sujet de l'histoire. Sans homme, pas d'histoire, si l'homme s'éteint l'histoire s'éteindra donc avec lui.
L’idée essentielle est que l’Homme ressemble à l’animal. Ils ont quelques besoins en commun mais n’ont pas pour autant la même façon d’y répondre, car l’Homme a le langage en plus de l’animal.

Etape 1 (ligne 1 à 3) : Dans la première phrase, Weil explique que l’Homme est un être vivant, c'est-à-dire un être qui nait, grandi, se nourri, se reproduit et meurt, tout comme les autres. Les « autres » étant surement assimilé aux animaux, sont donc tout à fait des êtres vivants. Mais, Weil dit qu’il existe tout de même une différence entre les Hommes est les animaux et cette différence à l’air très importante puisque que l’auteur utilise trois fois le terme d’ « autres » au pluriel. Ce qui montre que l’Homme est vraiment à part face à toutes les autres espèces de la planète.
La fonction de cette étape première est de donner la place de l’Homme et de ses besoins. Lorsque Weil commence sa première phrase par l’homme il faut qu’on comprenne qu’il parle de tous les personnes humaines du monde. Il les compare