« Il est extrêmement maigre et son habit noir flotte sur un forme squelettique. Ses yeux sont profonds qu’on ne voit que deux grands trous noirs. Sa peau est jaune. Il n’a presque pas de nez, presque pas de cheveux. Ce visage est horrible à voir » (l. 7-10, p. 2). Alors, c’est l’essence de la laideur selon Gaston Leroux. À cause de leur laideur, Le monstre de « Frankenstein » et Erik de « Le fantôme de l’opéra » sont très similaires ; particulièrement en leurs comportements violents, les aspects de leurs enfances, et que tous les deux veulent l’amour.
À cause de la laideur, souvent il y a des problèmes sociaux et psychologiques parmi les gens qui sont laids. Les gens qui sont maudit de la laideur souffrissent de la cruauté de société. Malheureusement la plupart du temps, cette détresse devient la colère. Alors, selon les comportements violents du Le monstre et d’Erik, il semble que l’idée soit vraie. Par exemple, à la fin du roman nous remarquons que Le monstre a bien changé. Contre s’innocence initiale, au cours d’histoire Le monstre devient menaçant et dangereux. En fait, quand Victor détruit la compagne de Le monstre, pour se venger Le monstre assassine Clerval, le meilleur ami de Victor, puis ensuite la fiancée de Victor, Elisabeth. Comme Le monstre, Erik est aussi violent et morbide. Dans le roman, Erik tue comme c’est rien. Même dans le premier chapitre le chef machiniste, Joseph Buquet, est pendu. D’ailleurs, son comportement violent est démontré par s’invention de « la chambre des supplices ». Selon Le Persan, « la plus horrible, et la plus dangereuse des inventions d’Erik est la chambre des supplices. » (l. 2, p. 89). En plus. « qui est entré cette chambre en a assez, il peut se suicider. » (l. 3-4, p. 89). En résultat, au cours de leurs vies, Le monstre et Erik développaient les comportements violents à grâce de la cruauté.
C’est évident que comme Le monstre de « Frankenstein », Erik a fait face à beaucoup de difficultés au cours de son enfance.