Erine de force dans le lit.
Ici, Roubaud et Séverine sont représentés dans une scène de ménage, car Zola est persuadé que pour comprendre quelqu'un, il faut avant tout comprendre le milieu dans lequel il vit. Le couple est très stéréotypé (Séverine qui pense à faire les magasins, puis à mettre de l'ordre dans la chambre). Néanmoins, elle oublie tout cela et s'accoude à la fenêtre. C'est là que Roubaud la rejoint, et contemple la Gare Saint-Lazare qui s'étend devant eux. Ensuite, nous verrons que Roubaud ressentira un désir malgré que sa femme le repousse.
Nous verrons donc que cet extrait comporte une description qui montrera que la Gare Saint-Lazare est animée, et que Roubaud n'est pas séducteur, mais avant tout violent.
La Gare Saint-Lazare est très vivante : les trains vont et viennent sans arrêt, ils sont personnifiés, métaphorées et comparées à des « ménagères prudentes ». L'arrivée du « flot de voyageurs » fait une apparition soudaine et animée. Mais, on constate que la gare s'obscurscit et devient de plus en plus sombre : « le ciel s'était assombri », « cendre crépusculaire », « nappes sombres », « Paris obscurci »...
Tout à coup, la description s'interrompt par la plainte de Séverine : « Non je ne veux pas ». Roubaud s'est peu à peur rapproché d'elle et il devient violent : il ne l'embrasse même pas mais il lui « écrase les lèvres » , il la prend « à pleins bras », malgré les protestations de Séverine. On peut constater un lien entre le passage