CHAPITRE 4 :
FERRAGUS
Le lendemain Jules DESMARETS alla chez la veuve Gruget à 9 heures, rue des Enfants-Rouges. Elle lui propose un café à la crème mais il n’en veut pas. Elle conduit Jules dans la chambre du dessus et lui montra l’ouverture que le serrurier avait faite pendant la nuit. C’était deux petites meurtrières de la taille d’une pièce au-dessus d’une armoire. A ce moment-là, Jules voit un homme qui soignait Ferragus, en lui mettant des pansements sur des brûlures. Il reconnut tout de suite Ferragus car le baron lui avait décrit auparavent. L’inconnu affirme que demain Ferragus aura ses papiers sous le nom de de Funcal et que Henri Bourignard sera officiellement mort. Ferragus est content car il sait maintenant qu’il pourra être un homme libre. Il lui annonce aussi que les deux fatales lettres qui pouvaient le faire tomber n’existent plus. Ferragus explique à l’inconnu qu’il appelle aussi Marquis, qu’il doit continuer à surveiller M. de Maulincour et Ida car ils peuvent mettre en danger ses projets. L’inconnu s’en va 10 minutes après et Clémence arrive. Elle dit tout de suite père à Ferragus. M. Jules comprit que Ferragus n’était pas son amant mais en réalité son père ! Il s’en veut. Clémence souhaite le dire à son époux car elle se sent de plus en plus faible et de plus en plus mal. Son père est très attaché à sa fille mais celle-ci aime avant tout son mari. Elle est malheureuse d’avoir à lui mentir. Clémence affirme à son père que son couple est en danger et qu’elle doit dire la vérité dans deux heures. Ferragus avait adoré sa défunte femme. A priori, cela fait trois ans que Clémence Desmarets voit son père en cachette. Ferragus veut que Clémence garde le secret, il dit que son mari sera compréhensif. Elle est complètement déchirée… Ferragus dit à Clémence qu’éventuellement, Jules peut aller voir le comte De Funcal à l’ambassade du Portugal, ainsi Ferragus lui dira la vérité. Mme Gruget sort de son appartement et va à l’appartement au-dessus de