Il est samedi matin, juste avant dix ans. Klaas Hansen prend les escaliers de la tour de Michels. Il va monter les 279 marches comme tous les jours. Il porte sa trompette sur le dos.
Il l'a toujours avec lui.

Au sommet de la tour, il voit l'ensemble du port de Hambourg. C'est l'automne et les nuages sont partout, mais heureusement, il pleuvait pas aujourd'hui. Il voit l'eau, les navires et de nombreuses personnes.Les personnes et les navires vont et viennent. Klaas a jamais conduit un bateau. Il aimerait voyager et voir le monde. Mais il doit rester. C'est son travail. Maintenant il est dix heures. Il déballe sa trompette. Il ouvre la fenêtre à l'est et joue la première chanson. Il sait, que maintenant autour de Michel beaucoup personnes le voient . Mais, ils ne le vois pas. Ils ne voient que de la trompette. Peu à peu, il ouvre une autre fenêtre au sud, à l'ouest, au nord. Chaque fois qu'il joue une chanson.

Après la dernière chansonqu' ferme la fenêtre", emballe sa trompette et descend les marches. Il sait qu' à 21 21 heures de il doit être de retour ici et jouer."Presque chaque jour, je suis ici. Matin et soir, toujours le même. Ma vie est juste cette tour", dit-il doucement. Il est triste.Il ne sait pas encore que cette journée est très différent.

Il fait déjà sombre. L'horloge sonne neuf fois sur Michel , il est 21h. Henrik Dirkheide , le pasteur du Michels, est assis dans son bureau. Nul n'est plus dans l'église. La première fois ce jour-là tout est calme.
« Enfin un jour! », il pense.Comme tous les soirs d'attente pour la musique de Klaas. Chaque jour commence pour lui avec de la musique de trompette et écoute de la musique tous les jours à nouveau. Au cours des 25 dernières années. Cela lui a causé beaucoup.
Après cette journée épuisante, il est particulièrement heureux de la musique. Puis il veut enfin rentrer à la maison. Là, il doit écrire son sermon. Les gens veulent l' entendre demain matin dans la prédication de l'Eglise.
Il tire