Etienne
Encore de nos jours, les homosexuels subissent souvent une discrimination, nommée fréquemment homophobie, parfois très lourde, au point que la première cause de suicide chez les jeunes de 15 à 34 ans est la souffrance ressentie à cause de l’exclusion due à l’homosexualité
D’autres estiment que le terme d'homophobie, dont l’étymologie est contestable constitue plutôt un terme utilisé par les associations homosexuelles pour censurer toute critique de l’homosexualité. Le terme homophobie peut donc sembler politiquement campé et ne pas être une définition officielle en psychologie. Il est plutôt à rapprocher de termes comme racisme, sexisme, antisémitisme et tous les termes désignant une discrimination ou une forme de violence fondée sur l’appartenance à un groupe. Les agressions homophobes vont ainsi de l’insulte à la barbarie, voire au meurtre
Encore il y a peu, les femmes homosexuelles étaient parfois excisées aux États-Unis, ce qui était censé les guérir.
L’homosexuel n’étant en effet aucunement stérile, il y a de fait des enfants élevés par des couples homosexuels. Ces enfants sont les fruits d’adoptions, des différentes méthodes de procréation médicale assistée, parfois d’une insémination artisanale, ou plus simplement d’une relation hétérosexuelle antérieure.
Dans le reste du monde
Les actes homosexuels sont encore passibles de peine de mort dans sept pays de nos jours : Afghanistan, Arabie Saoudite, Iran, Nigeria, Mauritanie, Soudan et Yémen. Ces législations sont effectivement appliquées. Ils sont aussi condamné par des châtiments physiques, ainsi que des peines d'emprisonnements dans plus de 27 pays par le