ETRE FAN
Né en Californie (EU), dans l’Université de Stanford (SF)
Dans les années 1950, un courant de recherche rassembla des chercheurs d'horizons divers. La communication interpersonnelle était l'objet central de leurs travaux. Une des idées de base était que l'existence d'un groupe impose un réseau de communication.
L'école de Palo Alto s'est beaucoup penchée sur l'aspect non verbal de la communication. Bien communiquer dans un groupe, c'est entre autres résoudre les divergences et les difficultés de compréhension qui s'expriment très souvent par des gestes, regards désapprobateurs etc...
Les modèles classiques de la communication (avant Palo Alto):
Shannon (1947). Les premiers travaux portent sur la cybernétique (le pilotage des systèmes).
Les groupes d'individus sont perçus comme des systèmes. Pour Shannon, la qualité de la communication dépend du codage et du décodage, eux-mêmes dépendant des qualités de l'émetteur et du récepteur. Il faut aussi se pencher sur les conditions de circulation de l'information.
Wiener (1948): Il s'est penché sur le phénomène du feed-back.
Le premier aspect de la communication est sémantique.
Le feed back : Son analyse permet à l'émetteur de comprendre la matière dont a été compris le message.
L'école de Palo Alto critiqua cette approche linéaire de la communication. Elle décida d'inscrire cette théorie dans une approche systémique. Watzlawick, Jackson, Bateson furent membres de l'école.
L'école de Palo Alto appliqua ses concepts dans le cadre de la famille. La famille est un lieu ou la communication non verbale est très importante. Rappelons que l'enfant communique d'abord sur un mode non verbal.
Précisons aussi qu'au sein d'un groupe, un élément troublé trouble généralement toute la structure.
Mais pour se maintenir le groupe peut être amené à maintenir le trouble, d'où l'importance de prendre en compte le contexte dans lequel évolue le sujet.
Dans le cadre d'une action