Etude cas projet x
Au cours de la mission, la Cour a examiné 12 projets composés de 15 contrats dans les quatre sous-domaines de la JUE : les centres d’asile et la migration, la gestion intégrée des frontières, le pouvoir judiciaire et la police. 18 réunions et 11 visites sur site ont été réalisées. Le vérificateur en chef a également rencontré le président de l’Institution d’audit d’Usitania.
Au cours de l’audit, les fichiers de la délégation ont été examinés et les entretiens ont été menés avec le personnel de la délégation, les surveillants européens, les autorités usitaniennes compétentes et les bénéficiaires du projet. Les visites sur site ont été effectuées pour tous les projets présélectionnés pour l’audit, à l’exception d’un seul. Le principe de l’audit était de visiter les projets sur site, où ils ont réellement commencé à prendre forme. Cependant, suite aux heures supplémentaires nécessaires à l’examen des fichiers de la délégation et la contrainte temporelle supplémentaire, le vérificateur en chef a décidé de ne pas visiter l’un des sites du projet. La frontière était simplement trop loin d’Usitany et l’inspection sur site a été omise.
L’un des défis de l’audit était le manque de documentation sur les (vagues) indicateurs de performance présentés dans les fichiers des projets grâce auxquels le vérificateur pouvait évaluer les résultats des projets. De plus, il y avait pratiquement un manque total de statistiques avec lesquels évaluer correctement les projets (c’est-à-dire avant et après l’intervention de l’UE) dans les bureaux du pouvoir adjudicateur (CE). En effet, la plupart des gestionnaires de projets européens n’étaient pas au courant de la situation réelle sur le terrain. Ainsi, on peut considérer que l’absence des gestionnaires de projets n’était pas cruciale.
Un membre de la délégation à rejoint l’équipe de l’audit (constituée de 2 personnes) pour chaque visite sur site. Suite à l’absence des gestionnaires de projets, un secrétaire ou un