Etude de cas puma 2005
Partie 1 : FAIRE FACE AUX CONCURRENTS ACTUELS
I-
STRATEGIE D’EXTENSION DE LA MARQUE
Le SWOT (analyse externe et interne) Le diagnostic interne: Forces Faiblesses
Performances quantitatives : -Chiffre d’affaires de la société s’élève à 1.3 milliards d’euros en 2003 contre 598 millions d’euros en 2001. - bénéfice net en hausse de 111,3% à 179 millions d'euros... Sa prévision pour 2004 serait en augmentation de 40%. - Le groupe compte 6 000 salariés répartis dans 40 pays. Ressources : - financières : L’action Puma est passée de 60 euros en février 2003 à la bourse de Frankfort, à un peu plus de 140 euros aujourd’hui. - industriel : après une phase de restructuration sévère, de 1993 à 1998, à base de délocalisations en Asie du sud-est. Le groupe a fait des économies. -forte capacité d’innovation avec une gamme chaussure et textile extrêmement visuelle : bleu/or, rouge/argent… -commercial : deux axes de développement stratégique puissants : le football, véritable racine de la marque (Pelé, Maradona, Cruyf), et le running, sport universel par excellence
Cependant Puma reste encore loin derrière ses concurrents Nike : 12.3 milliards d'euros, Adidas 5.5 milliards d'euros ou Reebok 3.5 milliards d'euros
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Notoriété et image : -Nécessité de dépoussiérer l’image de - Puma a associé son style au mouvement Puma. musical ragga /dancehall
© Fédération Européenne des Ecoles – European Federation of Schools - Juin 2005 Etude de cas DEESMA Corrigé
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Marketing-mix actuel : Produit : -La marque est spécialiste dans le domaine des vêtements de sport. -Plusieurs nouveaux logos. Plus étirée, en couleur, en surimpression, cette signature visuelle est déclinée en quatre versions de façon à adapter le logo à la cible visée. Prix : - La marque fait dans le haut de gamme donc elle est 20% à 25% plus cher que la concurrence. -Ces magasins sont petits (200 ou 300 m2) Distribution : comparés aux Nike Town. -Puma développe son réseau