Etude de cas : pyrénées centrales
Depuis le début du XIXe siècle, l'attractivité des Pyrénées centrales a considérablement évolué : ces massifs montagneux ont été de plus en plus fréquenté par les élites sociales ce qui a entrainé un développement des stations thermales et du tourisme pédestre . On observe donc un déclin des activités agro-pastorale alors que de nouveaux usages émergent.
On peut donc se demander en quoi consistent cette diversification des usages et si des aménagements appropriés ont été nécessaire.
Le déclin de l'activité agro-pastorale dans les Pyrénées centrales couplé à la fréquentation de plus en plus massive de touristes été comme hiver a entrainé une diversification des usages. De nos jours, il y a des zones urbanisées situées en vallée (certaines comprenant des pôles industriels ou commerciaux) lesquelles sont entourées pour des cultures et de prairies. Ces villes sont en partie composées de résidences secondaires appartenant aux touristes. En effet, le tourisme vert en été s'est considérablement développé dans les Pyrénées centrales : randonnée pédestre, découverte de patrimoine naturel comme le cirque de Gavarnie etc. L'hiver, la tendance des sports d'hiver est en plein essor : le ski alpin, le ski nordiques par exemple sont pratiqués par de nombreux touristes chaque saison hivernale dans les stations de hautes montagne (ex : La Mongie).
De plus, chaque année, de nombreuses personnes viennent dans les Pyrénées centrales pour assister au passage du Tour de France pour l'ascension des cols de haute montagne comme le col d'Aspin.
Les Pyrénées ont connu une diversification des usages, laquelle a entrainé une mise en valeur de ses activités grâce aux différentes formes de tourisme.
En réponse à cette diversification des usages, des aménagements appropriés ont dû être construits : l'aflux de touristes durant les différentes saisons a