Etude de cas renault - delocalisation
L’idee c’est on est acheteur avec un perimetre: la catalyse, qui est un “pain” en ceramique qu’on va tremper dans une peinture faite de metaux precieux palladium, rodium, platine. Il faut acheter ces composants qq part: il y a 3 ou 4 impregnateurs possibles.
On a les producteurs (mines de metaux), les ceramistes, apres les impregnateurs, qui envoient ca au canneur, qui envoie ca a l’equipementier. Ca depend des societes. On peut aussi laisser tout a l’impregnateur ou a l’echappementier.
Quand on confie comme ca des appros c’est hyper dangereux. Quand on voit que le gramme pour le rodium coute 150 Eur on en a pour une fortune. Donc l’idee est de recuperer ce pain qu’on met sur les parois. Quand il va monter en temperature a partir de 140 degres le gaz va froler la paroi et faire une reaction chimique qui va changer les proprietes du gaz.
Donc on a vu la chaine qui est assez complexe car on a un produit noble. Les fournisseurs sont les echappementiers, ceux qui font la tole, le tube, la soudure, les boites, les filtrations acoustiques. Le canneur est celui qui va canner en relation avec l’echappementier. Quand le pain est canne on met un coton autour. Une fois que c’est fait, il y a l’echappement et la catalyse. Donc partant de la on est acheteur et on achete ce produit.
Mais il nous faut 25% de remise. Qu’est ce qu’on a comme possibilite pour faire baisser? on peut pas toucher le cout des metaux precieux. Pour atteindre un tel niveau d’economie il faut faire du LCC: low cots country. On choisit donc l’afrique du sud. On va faire faire les pieces et les assembler. On est un assembleur specialize dans la voiture. Si on faisait faire tout le pot en afr du sud la logistique serait impossible. On doit donc faire faire les composants et les associer nous memes en Europe.
Au debut, substrat fait en belgique, impregnateur en Europe, canning en Europe, (toujours a cote) après echappementier. Ou va t’on couper la ligne pour le faire en Afr du Sud?