Gallez Margaux 2nd7

Français

1) Les deux thèses en présence dans ce préface s'oppose. Il y a présence d'une thèse pour la peine de mort et une autre contre la peine de mort.
Victor Hugo nous fait comprendre qu'il est contre le châtiment de la peine de mort. Il pense qu'il ne faut pas tuer les gens mais les corriger. En employant Dieu, il se sert des croyances et de la religion pour appuyer sa thèse.
2) L'emploi de la citation et de la maxime dans le second paragraphe est fait pour argumenter la thèse de Victor Hugo, il cite pour pouvoir contredire l'argument et indique ou la société se trouve et également ce qu'elle a le droit et le pouvoir de faire et de ne pas faire.. Il essaye d'inciter les gens à suivre ses opinions en argumentant sa thèse.
La citation « punir pour se venger » représente la pensée de la plupart de la société tandis que la maxime « corriger pour améliorer » représente la pensée de Victor Hugo.
3)L'emploi du pronom « on » dans ce texte fait le plus souvent référence à la société . Quand Victor Hugo dit par exemple « nous nions que le spectable.. » ou « nous nions d'abord qu'il est exemple » il parle de la société..
Dans d'autre cas tel que « Mais, reprend-on, il faut que la société se venge » il fait référence aux personnes qui dirigent la société, aux personnes qui prennent les décisions.
4) Les marques des sentiments dans le troisième paragraphe sont : - « épouvanter » l.16 - « démoralise » l.22 - « sensibilité » l.22
Par « épouvanter » il veut faire comprendre que le « spectacle » de l'exécution est tellement horrible qu'il effraie les gens .
Par « démoralise » il entend qu'à cause de la peine de mort les gens perde leur morale car ils acceptent de tuer d'autres gens..
Et le mot « sensibilité » est accompagné d'un élément négatif : le mot « ruine », ce qui veut donc dire que la société devient dénuée de sensibilité à force d'assister à des mises à mort. La première et évidente marque de jugement et tout