Etude de cas

La société Ecofrabric, conditionne des produits à la demande.
Elle se situe sur son marché comme un challenger capable de traiter des volumes en commande de quelques centaines d’unités à plusieurs milliers à des coûts très compétitifs.

Cette société est équipée de 5 lignes de production et envisage de changer ses systèmes d’impression devenus vétustes et inadaptés. Le coût de fonctionnement par an est de 150 000€ en tenant compte des coûts d’arrêts de 10 000€.
Pour cela elle a choisie de consulter 3 fournisseurs.

L’objectif est de marquer les différents cartons de ses clients par une impression directe qui s’intègre dans ses chaînes d’emballage.

La cadence de production annuelle est de 20 millions de cartons sur 288 jours à raison de 7 jours par semaine travaillés.

Le marquage des unités logistiques s’effectue sur des cartons dont la taille en hauteur est de 100mm pour le plus petit et de 450mm pour le plus grand.
L’ensemble de production est dans un environnement très poussiéreux, avec des températures de 10° à 35°C max et un taux d’humidité de 45%
Les cartons suivent un parcours sur un ensemble du type suivant :

[pic]

Les cartons seront marqués du même message des deux côtés contrairement à un seul avant et non plus en ligne (voir photo) mais après la sortie du convoyeur à bandes et avant palettisation automatique.
La vitesse de la ligne est constante à cet endroit et est asservi avec le palettiseur en cas de bourrage.
Les cartons sont délivrés à la cadence de 45 par minute.
La distance entre chaque carton est d’environ de 50cm.
Il existe 12 tailles de cartons différentes en fonction du client à livrer :
Hauteur 100 à 450mm
Longueur 100mm à 600mm
Les profondeurs sont les mêmes 300mm

Sur les cartons il faut imprimer les informations suivantes :
[pic]
Le nombre de pixels contenu dans ce message est de 230 000pixels.

Selon les informations disponibles ci-dessus, vous devez remplir la fiche de qualification de