Etude sur le fondement des inégalités chez rousseau
Pour répondre à cette question je verrai dans un premier mouvement la liberté naturelle de l’Homme. Puis dans un second mouvement j’étudierai la perfectibilité humaine.
Rousseau commence par dire que « tout animal a des idées puisqu’il a des sens ». L’animal est donc relié au monde sensible, et c’est cette sensibilité qui va lui permettre de développer des idées. Ce que Rousseau appelle les idées revoit plutôt ici à des intuitions sensibles. De plus il nous dit que : « il combine même ses idées jusqu’à un certain point », cela implique que Rousseau croit en une existence de l’entendement chez l’animal, il réaffirme cela juste après en nous disant que « l’Homme ne diffère a cet égard de la bête que du plus au moins ». Il montre ainsi que finalement la capacité à ordonner ses impressions ne diffère pas finalement dans la forme, car l’homme ou la bête sont capables d’utiliser leurs impressions, mais que la différence n’est en réalité que dans le nombre, ce pourquoi il utilise la notion du plus au moins. Il va même ensuite jusqu’as dire que « Quelques philosophes ont même avancé qu’il y a plus de différence de tel homme à tel homme que