I .Réminiscences à propos du texte :

Mme de Sévigné était une personnalité et femme de lettres française du XVIIe siècle, dont l’œuvre est strictement épistolaire.

II .Recherches :

Pour cette recherche sur Mme de Sévigné, j'ai effectué dans un premier temps une biographie synthétique à partir d'informations trouvées dans le Grand Larousse Universel et sur internet (Imago mundi cosmovisions.com Encyclopédie gratuite, histoire-en-ligne.com et wikipédia).

Fille de Celse de Rabutin et de Marie de Coulanges, elle naît à Paris en 1626. Elle devient orpheline jeune et est placée sous la protection des Coulanges, respectivement chez le grand-père Philippe de Coulanges (qui meurt quelques années après) puis chez ses deux oncles maternels Philippe et Christophe de Coulanges, le second étant abbé de Livry. Elle reçoit les maîtres les plus distingués, dont Jean Chapelain (poète et critique littéraire français) et Gilles Ménage ( grammairien, historien et écrivain français) qui développèrent en elle le goût des études et l'art de la langue. En 1644, elle épouse le marquis de Sévigné, d'une antique famille noble de Bretagne. Brillant et prodigue, il vit la vie comme un jeu et meurt au cours d'un duel en 1651 . Veuve à 25 ans avec deux enfants, Françoise-Marguerite et Charles, Mme de Sévigné mène à Paris, à l'hôtel Carnavalet, ou aux Rochers, domaine des Sévigné en Bretagne, ou encore à Livry, chez son oncle, une vie paisible vouée à l'éducation de ses enfants mais aussi à l'étude et aux salons précieux (elle y fréquente Mme de la Fayette, La Rochefoucault, Arnauld de Pomponne, Emmanuel de Coulanges et sa femme, le vieux cardinal de Retz... ) qu'elle préfère à la Cour où elle n'a que peu de vrais amis, surtout après la disgrâce de Fouquet.

Les occasions de remariage ne manquent pas ; elle les refuse toutes, reportant sa tendresse sur ses enfants et surtout sa fille qu'elle adule. Celle-ci se marie en 1669 avec le comte de Grignan, lieutenant général de