DEVOIR D’ECONOMIE

Depuis quelques années déjà la Roumanie fait partis de l’Union européenne. Elle fait partis des plus petites puissances économiques de l’Europe de l’est. Jusqu’à 2004 l’économie roumaine vivait sa cinquième année de croissance stable, avec la perspective d’un maintien de cette tendance, ce qui est conséquent pour un pays qui est entrée en Union européenne seulement en 2007. Dès lors la croissance économique ne cesse d’augmenter grâce aux investissements importants et à une augmentation significative de la consommation. Favoriser par une main d’œuvre bon marché, qualifiée, une fiscalité avantageuse et une position stratégique, la Roumanie devient un « eldorado de la délocalisation ».
Un problème se pose alors, quelles caractéristiques et quelles conséquences traduisent un pays émergents : la Roumanie.
Nous analyserons dans un premier temps, la situation économique de la Roumanie et dans un deuxième temps nous étudierons les conséquences qu’engendre son ouverture aux IDE.

Bien que de nombreux problèmes subsistent, l’économie de la Roumanie est depuis une dizaine d’années en pleine croissance.
En effet, avec un rythme de croissance de 8.5%, il fait parti des pays avec un fort développement économique. Alors que l’Union européenne et la France tourne autour des 1% en 2002 et 1.2% en 2008 de PIB, la Roumanie fait effet de meneur dans ce domaine. Avec un PIB de 5.1% en 2002 et de 8.5% en 2008, elle est très clairement dans une période de forte croissance économique. La Roumanie fait alors front aux pays riches de l’Union européenne.
L’un des motifs de cette croissance extraordinairement forte est le revenu perçu pas les roumains. En effet, malgré une forte croissance, le revenu moyen reste faible. Avec un salaire moyen de 328 euros dont un salaire minimum de 274 euros pour les cadres et 137 euros pour les autres catégories, il reste tout de même très faible par rapport au salaire minimum européen, à l’exemple du revenu minium français qui