Histoire de la profession d’infirmière
I- L’origine des infirmières
L’antiquité : Pas de spécificité de la formation soignante, cela pouvait être la maitresse de maison aidée par des esclaves ou par des médecins, par des femmes de la noblesse qui allait soigner les malades (PAOLA et FABIOLA ce sont des romaines qui se sont convertie au christianisme « notion de charité » elle organise les soins).
Elle parle de la genèse de la pratique des soins élaborer par les hommes et les femmes.

Soins assurés par les femmes : - « les femmes consacrées » religieuse
« Guérisseur sorcière matrone = SF) Laïque
Soins assurés par les hommes : - chaman = médecin
Ordre militaire
Barbier = chirurgien
Les rebouteux, chiropracteur = kiné
Gardien infirmier de l’enfermement (peste …)

Du 4ième au 12ieme siècle la prise en charge est réalisée par les religieuses.
L’apparition de groupes spécifiques se fait avec la christianisation
Soigner = aider son prochain
Les moines donnent des soins
L’infirmier est lié à la création des ordres religieux
Au IVe siècle, il y a création des hôpitaux monastiques, lieu d’accueil des malheureux, des indigents et des malades sous l’autorité des évêques. C’est surtout leur trouver un toit.

Le frère soignant était nommé = infirmarus
La salle de soins = infirmarum

Photo Sœurs de la charité Collerette tablier robe on ne sort pas sans chapeau ni gants. Tout en couleur sombre pour cacher la crasse.

A partir du XIIe siècle de grands ordres vont se consacrer aux soins :
Les chevaliers de l’ordre de malte
Les confréries Béguines confréries des Augustines

Les hôpitaux ont une prédominance féminine
Trois sortes d’établissement
Les hospices qui accueillent les pauvres et les pèlerins
L’hôtel Dieu qui accueille les malades et les vieillards, des impotents, des enfants abandonnés et les femmes enceintes
Les léproseries, lieu d’éviction.

Le XIIe et Saint