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Euripide Iphigénie à Aulis

Ici le «à quoi bon?» signifie qu'il est inutile de se révolter contre l'impossible. Elle rappel sa mère à la raison. Elle intègre une sorte de réflexion stratégique. Elle se comporte en fille de roi. Elle copie le comportement d'Achille. Sa mère laisse ses sentiments prendre le dessus sur la raison. Les Grecs parlent parles et conceptualise. Il y à toujours de la réflexion.

Au deuxième temps il y à une harmonie sauvegardée. On voie bien qu'elle tente de convaincre sa mère et l'engage à rentrée dans la réflexion. Dans se texte, l'enfant (13 ans) est plus sage que les autres. Elle est difficile à comprendre. La mère elle a une réaction des plus normal, elle réagit comme une maman. En Grèce l'homme est fait pour aigre mais avant pour réfléchir. Quand elle dit «on me demande de mourir, on m'offre de mourir». Elle prend cela comme un cadeau, une occasion de s'exprimer. Quand on parle des «on» cela viens d'une requête des hommes mais peut aussi venir des dieux. Elle accepte de mourir. Il s'agit d'un moment clé. Elle veut mourir dignement. Puisque que l'on ne peut rien y faire autant le faire bien. «mais je veux la rendre glorieuse». Elle est d'une volontés inébranlable. Fermeté d'homme et d'âme bien forte.

Cette petite fille se comporte comme un petit garçon. . Elle ne se conduit en rien comme une femme, cette petite fille est tout le contraire. En Grèce les femmes ne sont rien. Elle ose parler et penser. Il y a une part de féministe dans se texte. C'est innovateur. Elle va transformer la mort à défaut de pouvoir l'éviter. Jamais on ne parle de glorieuse pour une femme car il s'agit d'un thème masculin.

Elle accepte la mort, sans mourir. Elle veut pérenniser sa mort. «je veux bannir de mon cœur». Elle est la fille d’Agamemnon et ne peut pas être une «petite». L'honneur est familiale. Sentiment de l'honneur, honneur filiale. Lâche sentiments indigne. Elle ne peut pas se comporter n'importe comment. Elle est la