Evolution organisations du travail ou des nouvelles formes :
Durant les années 1930, l’organisation scientifique du travail fut poussée à ses limites. La répartition des tâches à l’extrême, la surveillance constante par un contremaître et la mise en place d’un système de rémunération incitant au rendement ont permis d’augmenter la production industrielle. Cependant, le travail répétitif a conduit parfois à des productions défectueuses et une inadaptation des employés aux imprévus qui pourrait survenir.
A partir des années 1945, afin d’éviter l’absentéisme, un turnover important et un marque de rigueur des salariés dût aux tâches effectués à la chaîne et très répétitif ; il y a eu un assouplissement du principe taylorien le principe de l’élargissement du travail. A) Le principe élargissement du travail
Ce principe a introduit une diversification de tâches effectuées par les ouvriers. La répartition du travail est remise en cause.
Les facteurs du travail élargi sont les suivants : * L’individualisation des tâches ; * La réalisation d’un nombre de tâches plus important par chaque individu ; * Une séparation rigide entre les ouvriers ou employés qui exécutent et le supérieur qui conçoit le travail, le coordonne et prend la décision ; * Il y a une description plus détaillé des tâches à réaliser ; * La mise en place d’une formation au poste de travail, mais la plus courte possible.
Par exemple au Quick, chaque équipier est rapidement formé pour réaliser plusieurs tâches : cuisson des frites, confession de plusieurs types hamburgers et la mise à disposition des présentoirs pour les caissiers. Pour chacune des tâches existe une procédure précise et courte qui décrit les étapes du travail à effectuer. Au début de la journée le manager affecte à chaque employé un équipier un petit nombre de tâches répétitives qu’il doit réaliser pendant le service (la confection de deux types d’hamburgers). Donc le manager coordonne le travail des employés et décide, en