***Automne 2012
a) Est-ce que la formation d’ozone photochimique est une catégorie d’impacts globale, régionale ou locale ? Expliquez votre réponse.
b) Quelles sont les aires de protection affectées par la formation d’ozone photochimique
c) Nommez un indicateur d’impact de niveau midpoint (ou problème) et un indicateur d’impact de niveau endpoint (ou dommages) que vous pourriez quantifier afin de développer des facteurs de caractérisation.
d) L’ozone photochimique est aussi appelé smog d’été. Le phénomène de smog d’hiver est modélisé dans une autre catégorie d’impacts. Expliquez la différence entre le smog d’été et le smog d’hiver.
a) La formation d’ozone photochimique est une catégorie d’impacts régionale. Ellen’est pas globale puisque l’effet dépend fortement de l’endroit où les émissions ont lieu. Elle est plus régionale que locale puisque l’effet se fait sentir autour d’une zone urbaine, mais avec un grand périmètre (plusieurs dizaines de kilomètres autour des villes).
b) La santé humaine, les écosystèmes et les constructions humaines.
c) Un indicateur midpoint pourrait être l’augmentation de la concentration d’ozone troposphérique et un indicateur endpoint pourrait être le nombre de mortalités humaines ou le nombre d’espèces affectées.
d) Le smog d’été est causé par des précurseurs d’ozone (NOx, COV) émis par une chaude journée ensoleillée qui vont réagir avec les rayons UV. Le smog d’hiver est causé par des particules et des gaz irritants émis principalement par une mauvaise combustion. Dans des conditions hivernales douces où l’atmosphère est stagnante, il y aura formation d’un brouillard de polluants. Ces impacts sont modélisés dans la catégorie « effets respiratoires » en ACV.

***Hiver 2012
Répondez aux questions suivantes portant sur les différentes problématiques environnementales et l’évaluation des impacts du cycle de vie.
a) L’indicateur le plus couramment utilisé pour la détermination de facteurs de caractérisation pour la