Question 1 :

Selon Responsabilité sociétale de l’organisation : exercices, cas et fondements (2013) ;
En 1996, le nouveau président Mario Limoges fait preuve de sollicitude envers ses employés en s’engageant activement à la gestion humaniste, soit en instaurant plusieurs actions pour le bien-être à long terme de ses employés, ce qui créa un impact positif sur la clientèle et par le fait-même, l’entreprise elle-même :
D’une part, il œuvra à stimuler la confiance des employés en l’organisation ainsi qu’à augmenter leur sentiment de fierté et d’appartenance. Pour ce faire, il créa un service des ressources humaines avec l’objectif d’établir une meilleure communication ainsi qu’une meilleure gestion de ces ressources. » (p. 244)
Dès 2004, le Zoo mis en œuvre le principe de limitation des nuisances sur l’environnement naturel en engageant un coordonnateur environnemental qui devait réalisé plusieurs projets portant majoritairement sur la diminution de la consommation de l’eau et des énergies, ce qui eut un impact positif sur la population de Granby et des autres parties prenantes, telles les animaux et les employés :
Ces initiatives portèrent fruit et, en 2006, le Zoo de Granby avait diminué sa consommation d’eau de 70 %, faisant économiser 125 700 $ à la municipalité de Granby, ou l’équivalent de l’approvisionnement en eau de 400 foyers. Il était aussi devenu l’un des plus grands utilisateurs d’énergie géothermique au Canada ; il avait en outre e bâti des constructions écologiques 72 % plus éco énergétiques, banni tous les produits de nettoyage non organiques et augmenté considérablement les activités de recyclage. »

Question 2 :

Depuis 2003, le Zoo de Granby se situe au stade d’organisation éthique émergente car l’entreprise cherche à faire ce qui est bien et ce à long terme. Elle s’outille le mieux qu’elle le peut avec ses ressources financières disponibles. Le Zoo est un leader dans son domaine en ce qui concerne les pratiques écologiques. En