Explication
La perte de l’autorité du professeur
Plus le seul détenteur des savoirs
Obsolescence des savoirs
Quels savoirs transmettre
La perte de crédibilité de l’institution
Le seul recours : les qualités personnelles
L’enseignant ayant perdu une part de son autorité et ayant perdu l’autorité de son institution peut-il fonder son autorité autrement sur son seul charisme ? oui, sauf que tout le monde n’a pas le charisme nécessaire. On doit s’interroger sur quoi doit il s’appuyer pour assoir son autorité ?
Quelle forme de légitimité pour affirmer sa reconnaissance ?
L’autorité épistémique est soumise à l’autorité didactique.
Il doit s’interroger sur les situations de transmission de l’enseignement, et de comment engager les élèves sur l’aventure du savoir. Les élèves doivent s’engager librement. On enseigne pas de la même façon les différentes matières et il faut s’adapter aux différents élèves( les types d’hommes ne sont pas les mêmes)
L’autorité didactique : la compétence particulière qu’aurait l’enseigner à organiser des situations d’enseignement qui soit propice à l’apprentissage des élèves et qui lui permettent de s’engager dans les différentes situations pour transmettre au mieux le savoir. Parler d’autorité didactique ne veut pas dire être un enseignant autoritaire. Cette autorité est aussi dépendante de ce qu’est l’enseignant ( valeurs, idéologies..)
Le contrat didactique : le paradoxe de la croyance, le paradoxe de la dévolution. Cette forme de relation qui est plus implicite qu’explicite c’est « je suis là pour enseigner et vous êtes là pour apprendre « On accepte tous cette situation malgré que ça ne soit pas écrit, signé. Guy Broussaud le définit comme l’ensemble des comportements spécifiques des connaissances enseignées, ce qu’attend l’élève de l’enseignant et ce que l’enseignant attend des élèves.
Paradoxe de la croyance : il faut que les élèves croient ce que dit le prof, mais il faut que les élèves croit mais pas