Iere gen
Carte perforée:
1725: 1er “support” basile Bouchon utilisé pour automatiser les fct des métiers a tisser en 1728 (perfectionné par son assistant Jean Baptiste Falcon)
1801: M.Jacquard perfectionne ­> utilisé dans le monde
1834: M.Babbage utilise les cartes pour sa machine analytique (machine a calculer programmable mécanique) (photo)
1890: USA Herman Hollerith créé une machine à cartes perforée utilisée pour le resensement. => base du developpement de
IMB, Powers et Bull (grandes entreprise)
Cartes: 6cm sur 12: 210 cases
Format du billet de 10$ de l’époque: rangement facile Modele le plus courant: 1928 par IBM, carte 80 colonnes (photo)
Feuille de bristol (papier épais) dont un coin était coupé, caractères alphanumérique traduit en perforation
­> 1970: utilisation de ces cartes
­>1980: ordinateur équipé afin de lire et perforer les cartes. fin des cartes perforées

Ruban perforé: avec carte perfo = 1ere supporst entré­sorti et 1ere mémoire de masse
1880
Long ruban souple et solide, perforé dans le sens de la largeur, permettent d’encoder en octet
Moins volumineux que Carte perforée désavantage: modification= couper­coller / trou a la main ou boucher le trou

IIeme gen
Support magnétique : bande magnétique:
On y lit les informations en mesurant la polarisation de particules magnétiques ( oxyde de fer
) inclus dans un substrat souple. On y écrit en modifiant cette orientation.
Les bandes magnétiques ont été utilisées comme mémoires de masse dès les débuts de l'informatique. Dès les années 1950 le format des bandes devient rapidement standard : une bande mesurait au maximum 2 400 pieds de long (732 mètres ) pour ½ pouce (12 7 mm ) de large ; des bobines plus petites de 200, 300 ou 600 pieds ont aussi été produites. À l'origine, l'enregistrement s'effectuait sur 7 pistes (6 de données plus une pour la parité) à des densités de 556 ou 800 bpi mais avec le développement des ordinateurs