Notre exposé s’articule autour de la thématique de la violence urbaine. Nous mettrons ainsi en lien le texte de J.P Garnier qui s’intitule Révolte dans les cités : Le cas français et le texte de Daniel Bachet Violences, espace et habitat.
Garnier est un sociologue et urbaniste français, il est marxiste
Quant à Bachet c’est un néo marxiste et bourdieusien.
Pour résumer le premier texte, Garnier établie une critique de la politique de la ville en mettant en évidences les moyens employés ou mis en œuvre par celle-ci pour traiter de la question urbaine. Puis de son côté Bachet s’intéresse à la construction de l’espace urbain et à son rôle principale dans les violences urbaines.
A la lecture de ces textes nous nous sommes demandées :
Comment les acteurs politiques légitiment-ils cette domination ?
Problématique : Par quels mécanismes la politique de la ville impose-t-elle un rapport de force sur les acteurs de violences urbaines ? Et comment les acteurs politiques légitiment-ils cette domination ?

I] « Le jeune des banlieues »

« Jeunes de banlieues », « jeunes de cités » Expressions naturalisées dans les discours.
Ne correspond pas à un groupe parfaitement déterminé. Contours flous et mal définis
Terme devenue banal et quasiment intériorisé par la plupart d’entre nous
Renvoi aux noirs, arabes, immigrés, jeunes de sexe masculin, la vingtaine, habitant dans des cités et quartiers dit « sensibles »

Il faut adopter une nouvelle posture intellectuelle afin de pouvoir mener une analyse plus terre à terre.

II] Le cadre d’analyse de la question urbaine

a) Les causes structurelles des conflits urbains (paupérisation, précarisation, marginalisation, gentrification)
b) Le territoire comme outil des violences urbaines
c) Discrimination
1) positive (médias, politiques mises en œuvre)
Réhabilitation de quartiers
Maison des Jeunes

2) Négative