Machiavel et le machiavélisme

Moralisme : attachement formaliste et étroit à une morale.
Doctrine ou attitude qui érige la morale en absolu( par rapport à elle même) et affirme la prééminence ( supériorité) des valeurs morales par rapport aux autres valeurs.

Immoralisme : Doctrine qui nie toute obligation morale ( rejet de la morale traditionnelle)

Amoralisme : Philosophie qui nie tout fondement objectif et universel à la morale. La morale n'existe pas contrairement à l'immoralisme. Rejet de la notion du bien et du mal.

Les chapitres 15 à 19 résument les qualités qu'un prince doit posséder.

Chapitre 15 : Des choses pour lesquelles les hommes, surtout les princes, sont loués ou blâmés.

Dans ce chapitre M explique ce que doivent les manières et les façons du prince envers ses sujets. Il dit la vérité plutôt que ce que les gens s'imaginent. ( citations du livre). Un prince ne peut pas avoir toutes les qualités ( voir livre), mais il faut qu'il sache gérer les vices qu'ils pourraient lui faire perdre ses états. Les autres vices s'il arrivent à les gérer c'est mieux mais s'il il n'y arrive pas ce n'est pas grave car ils ne lui feront rien perdre(livre).

Chapitre 16 : De la libéralité et de la parcimonie

Libéralité : Don fait avec générosité
Parcimonie : Épargne rigoureuse jusque dans les plus petites choses

Un prince doit il être avare ou libéral? La libéralité conduit à devenir pauvre, méprisé , odieux.
La libéralité conduit au mépris et à la haine or ces les 2 choses dont un prince doit se préserver.
Donc il vaut mieux qu'il soit avare, car ça conduit certes au mépris mais sans haine, contrairement au libéral.(citation livre)

Chapitre 17 : De la cruauté et de la clémence et s'il vaut mieux être aimé ou craint

Le prince doit être ou du moins paraître clément et non cruel. Mais la clémence doit être approprier aux circonstances. Ex de César Borgia qui a été cruel mais dont la cruauté a aidé.(livre) Donc le prince malgré tout ne