Au début, j’aimerais insister sur le fait que cette expérience m’a laissé comprendre que le choix des curricula joue un rôle primordial dans la pratique enseignante. L’échec de la première séance est tributaire en grande partie à la méthodologie de travail adoptée par l’enseignant de philosophie qui a négligé le côté motivationnel de l’apprentissage. Par contre, une grande part de réussite de la deuxième leçon revient en quelque sorte à l’intégration des nouvelles technologies d’information et de communication (TIC). En effet, ces nouveaux moyens ont pu capter l’attention des élèves par la qualité iconique des exemples avancés par le professeur. En partant d’un exemple en relation avec le vécu des apprenants, ceux –ci se sentent impliqués dans leur propre formation et par là l’attention requise et présente pour une assimilation complète de la leçon. La vidéo fonctionne ici comme étant cet outil facilitateur des apprentissages de par la qualité des sons et des images. Les pédagogies cognitive et sociocognitive ont insisté sur le côté motivation des élèves dans toute sorte d’apprentissage. Selon ces pédagogies, si l’apprenant arrive à centrer son attention sur l’objet d’apprentissage et qu’il est conscient de l’intérêt de cet apprentissage, il va s’engager positivement dans la leçon, chose faite par moi lors de la deuxième leçon de l’unité « liberté » ci-haut expliquée. La motivation peut s’acquérir par différentes astuces ici, en l’occurrence, mon enseignant a choisi de le faire au moyen de la vidéo et d’un exemple précis. Il est important à ce stade de rappeler qu’actuellement le ministère de l’éducation nationale a lancé un programme visant l’intégration des TICE ( technologie d’information et de communication dans l’enseignement) dans les pratiques de la classe vu l’intérêt qu’elles ont dans la motivation des élèves. Le deuxième facteur qui a annoncé l’échec de la première leçon est l’absence d’un exemple illustrant. En réalité, le prof