Fable florian
L’âne défend la thèse que pourquoi faire tant d’effort pour si peu de récompense. Il se montre jaloux à l’égard d’un pasteur qui jouant de la flûte et qui attirait de nombreux spectateurs. Il dénonce le fait qu’un pasteur puisse avoir autant de gloire en si peu d’effort. « Les voila tous, bouche béante, Admirant un grand sot qui sue et se tourmente A souffler dans un petit trou. » (Lignes 11,12 et 13). Alors que lui n’obtient rien pourtant, d’après lui, il fournirait un travail plus conséquent qui devrait être plus glorieux qu’un simple pasteur jouant de la flûte. « Tandis que moi… Suffit… Allons-nous-en d’ici Car je me sens trop en colère. » (Lignes 15 et 16). Cet âne ne comprend pas que les gens puissent être aussi impressionnés devant un « grand sot » pareil. Pour lui « ce monde est fou ! » et rage de colère il quitta l’endroit où le pasteur montrait son talent incompris par cet idiot d’âne.
L’âne qui trouva sur son chemin une flûte oubliée par un « grand sot » de pasteur fît la découverte de son « grand talent » pour la flûte. Après avoir dénoncé le fait que des personnes obtenaient un succès non mérité en jouant de la flûte, il fût tout heureux de savoir que lui aussi il en jouait aussi. Il passa de son sentiment de colère envers « ce monde de fou » à un air joyeux se croyant d’un grand talent pour cet instrument. « L’âne se croit un grand talent, Et, tout joyeux » (lignes 29 et 30). L’auteur nous montre la bêtise de l’âne