faire des chapitres
1) Il y’a un effet de zoom, elle s’organise en plusieurs étapes. Le narrateur évoque tout d’abord une vue assez générale des environs de la maison de la veuve Severini, pour achever la description par la « maison de la veuve Severini »
La description est très structurée et s’articule autour d’indices spatiaux qui parsèment le texte.
2) Le point de vue dominant dans cet extrait est omniscient, en effet avec le point de vue omniscient, le narrateur sait tous des événements, des lieux, des personnages. Certaines informations transmises par le narrateur, telles : « Le tas de maisons » (l.8)
3) Les éléments qui créent un effet de réel sont tout d’abord les notions géographique telles que : « Bonifacio » (l.2) mais aussi les notions spatiales qui précisent la vision. L’évocation d’habitudes historiquement vérifiables telles que le circuit emprunté par les bateaux, ainsi que leur fréquence contribue aussi à l’effet de réel. La sollicitation des sens du lecteur qui affine sa perception de la réalité décrite.
4) L’étude des procédée d’écriture nous permet de relever le champ lexical de la dureté, celui de la sauvagerie ou encore de la sinuosité, autant de termes qui dressent le la région le tableau d’un lieu où il ne fait pas bon vivre, où le quotidien est difficile. Les figures de styles telles les personnifications, anaphore, métaphore ou comparaisons semblent donner vie aux éléments assimilés à des sortes de monstres ou des créatures mystérieuses et surnaturelles dont il convient de se méfier, peut-être à l’image des habitants.
L’atmosphère qui se dégage de cet incipit, au-delà d’être lourde et pesante, apparaît comme mystérieuse, voire inquiétante, presque fantastique. Cette ambiance pourrait se rapprocher du titre car ce dernier, de part la définition du mot est à la fois inquiétante, sombre et connoté de dureté.
5) La fonction référentielle, pour restituer une vision aussi proche que possible de la réalité.
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