faiza guene
Faïza se fait remarquer à l’âge de 13 ans en fréquentant assidûment un atelier d’écriture audiovisuelle à Pantin, dirigé par l’association Les Engraineurs. De l’âge de 13 à 17 ans, elle écrit et réalise 5 courts-métrages en vidéo dont certains seront primés dans des festivals. Après avoir obtenu une subvention du Centre National du Cinéma à 18 ans, elle réalise un moyen-métrage en Super 16 mm, « Rien que des mots », dans lequel elle fera même jouer sa mère.
Durant la même année elle commencera son roman Kiffe Kiffe demain qu’elle écrira « comme un loisir ». Après avoir rédigé une trentaine de pages « au stylo plume sur des feuilles de classeur », le professeur de français responsable de l’atelier d’écriture lit ce texte et l’envoie à la maison d’édition Hachette Livre sans en avertir Faïza.
Une semaine plus tard, elle reçoit le coup de fil qui va changer sa vie. L’éditrice, Isabelle Seguin, lui propose de signer un contrat et de terminer la rédaction du roman. À la sortie du livre, en septembre 2004, une journaliste du Nouvel Observateur consacre une double page à Faïza et encense le livre. La tornade médiatique commence alors et Kiffe Kiffe demain se vend à plus de 400.000 exemplaires et sera traduit dans plus de 26 langues.
Toujours dans la veine de la comédie sociale, en 2006, Faïza publie « Du rêve pour les oufs » puis « Les Gens du Balto » en 2008.
Elle travaille à l'écriture d'un scénario de long-métrage.
Faïza Guène, Kiffe kiffe demain
Faïza Guène, Du rêve pour les oufs,
Faïza Guène, Les Gens du Balto
Faïza Guène, Un homme, ça ne