Famille, je vous hais
« Famille, je vous hais. »
« Je préfère l’incinération à l’enterrement et des deux à un week-end avec ma famille ». Cette citation de Woody Allen montre une haine très forte envers sa famille. Mais quels sentiments peut-on avoir envers sa famille ? Peut-on la détester à un point inimaginable ? Oui ! Mais dans quels cas peut-on la détester ? Certains cas sont-ils mieux acceptés que d’autre ? Pour mieux le savoir, nous parlerons des cas où la famille peut être violente aussi bien verbalement que physiquement et des cas où la famille peut être intolérante. Peut-on quand même aimer sa famille? Oui. Dans ce cas, nous parlerons des familles où tout se passe globalement bien.
En effet, dans certains foyers, la phrase « Famille, je vous hais » se transformerait plutôt en « Famille, je vous aime ». Ainsi, dans certaines familles, la vie quotidienne se passe bien malgré quelques petites disputes. Les parents soutiennent leur enfant lorsque ceux-ci sont confrontés à une difficulté. Par exemple, lorsqu’un enfant se retrouve en échec scolaire, les parents peuvent l’aider à surmonter cet échec soit en inscrivant l’enfant à un cours de rattrapage ou en expliquant la matière (Argument par l’exemple).
En outre, l’enfant peut en vouloir à son parent pour quelques bêtises comme le fait qu’il n’a pas pu sortir ou regarder son programme télé préféré (argument par l’exemple) mais jamais en vouloir profondément d’une haine intense. Tout le monde a déjà boudé ses parents pour un refus de sortie ou autres (Argument ad populum). Mais la vraie haine profonde et intense ne vient pas de là.
Dès lors on peut se demander d’où vient la haine profonde qu’on peut avoir envers sa famille ? La haine vient d’événements graves. Comme lors d’un inceste ou de coups. (Argument par l’exemple) On a le droit de détester sa famille pour plusieurs raisons, comme, dans les cas où elle peut être violente physiquement et verbalement (argument par l’exemple).