Francis Joly
Philosophie et rationalité

Depuis le début des premiers humains sur Terre, l'homme survit en s'alimentant avec diverse produit, mais celui qui marque le progrès de l'homme est tout ce qui attrait à la chasse et pêche. Autrefois, vivant principalement de chasse et pêche l'homme a compris l'utilité de domestiquer certaines espèces pour ainsi avoir une abondance. Au fil du temps les conditions des animaux en élevage se dégradent. Devant une forte demande des populations du monde les compagnies bovines et de volailles ainsi que les piscicultures doivent prendre des mesures de production et d'élevage intensif. Se nourrir demeure tout de même une nécessité fondamentale, mais jusqu'à quel point nous pouvons tolérer la négligence envers les animaux qui se retrouveront dans nos assiettes. Deux groupes de pression se penchent sur la question de l'éthique derrière le fait de manger des animaux. D'une part les abolitionnismes prêchent l'immoralité de la façon dont sont traités les animaux servant à la fabrication de produits consommables. De leurs côtés ceux qui défendent que manger des animaux relève de la chaine alimentaire et n'est qu'une formalité pour notre race. J'appuie le concept que manger des animaux n'est qu'une formalité dans nos sociétés par rapport au poids ancestral de la prédation de l'homme envers les animaux.

Pour l’humain manger des animaux est nul autre qu’un chainon dans la chaine alimentaire, puisque que nous en sommes les prédateurs suprême. Depuis le début des temps de l’homme sur Terre, l’humain chasse, traque, apprivoise pour ce nourrir de viande animal. Or, depuis ce temps toutes les cultures du monde mangent des animaux. Chaque être vivant sur Terre se nourrissent en mangent ou absorbant un entité plus faible pour ce nourrir. Par conséquent, il est moralement acceptable dans notre société de manger des animaux. L’éthique de l’abattage d’animaux pour but de consommation est devenue immorale. L’élevage industriel est devenu une