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Dans un 1er temps , il insite sur l'absence d'humanité des esclavagistes.
Ils n'ont aucune considération pour les esclaves, en effet, la description que le noir fait sur le peu de vetements fournis par leurs maitres (lignes 7-8) "on nous donne un calecon de toile pour tout vetement 2 fois l'année". Mais aussi, leur cruauté , en n'hesitant pas à mutiler ces esclaves à des fins différentes, expeditives et punitives. Par exemple, trancher la main d'un malheureux, au lieu de seulement, lui soigner un doigt bléssé. Cela dans le but de ne pas ne pas s'attarder sur une petite plaie, (ligne 8-9) "quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main".
La méthode punitive est décrite dans cet extrait par une mutilation aussi cruelle que stupide. les esclavagistes, voulant donner l'exemple, se privent de force au travail, (ligne 9-10) "quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe". l'auteur tourne ici en dérision le nom du "fameux négociant" (ligne 5), employant l'ironie, renforçant l'aspect cupide et cruel de ce personnage (ligne 5)
"M. Vanderdendur".la cruauté est décrite aussi intensement que l'aveuglement des familles nègres restées au pays.
En effet, dans une seconde partie, l'auteur relate et critique la perception des noirs face à cette traite, l'antiphrase insiste sur le fait que les mères des esclaves pensent que c'est un avenir rempli de bonheur pour eux (ligne 13-14) "mon cher, béni nos fétiches, adore les toujours, ils te feront vivrent heureux; tu as l'honneur d'être esclave de nos seigneurs les blancs, et tu fais par là la fortune de ton père et de ta mère". Tandis que la vision du noirs, elle, est trés réaliste quant à sa précarité et son malheur (ligne 16-17) "les chiens , les singes et les perroquets sont mille fois moins malheureux que nous"; (ligne 19-20) "or vous m'avouerez qu'on