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• de connaître avec précision les besoins et désirs du client;
• de lui montrer les qualités et les performances des produits de l'entreprise; • de répondre à ses contestations et à ses objections;
• de l'amener à conclure l'acte de vente;
• et finalement de fixer les modalités de suivi pour le fidéliser. Dans cette discussion, les deux parties (négociateurs) doivent se montrer actifs : le client n'acceptera d'acheter que les produits qui lui sont vraiment utiles. L'entreprise, quant à elle, doit le convaincre que cet achat va répondre à ses attentes et résoudre ses problèmes. Cela ne veut pas dire que la négociation commerciale est une guerre ou un combat qui désignera un gagnant et un perdant, mais c'est uniquement une sorte de conversation durant laquelle chaque partie exprime sa volonté de "faire", de "donner" ou
"de ne pas faire". Le vendeur n'a pas intérêt à considérer l'acheteur comme un ennemi qu'il faut vaincre et induire en erreur, mais comme un opérateur qui aidera l'entreprise à survivre par le biais de ses propositions. Un bon vendeur n'est pas celui qui réalise la maximum de chiffre d'affaires ou qui note le plus grand nombre de commandes, mais c'est celui qui parvient à conserver ses clients pour une longue durée . La notoriété d'une entreprise s'améliorera si elle profite des recommandations des clients pour revoir sa stratégie commerciale. L'exemple qu'on peut citer pour bien illustrer cela est celui des entreprises japonaises qui considèrent le client comme un "roi".
Tout problème ou toute critique soulevée par celui-ci est signe de richesse.
Son insatisfaction leur génère de l'argent car elle leur permet de se corriger
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