Résultats de l’enquête, concepts abordés et conclusion perso
Chapitre 1 :
Avant de comprendre l’enjeu des inégalités entre filles et garçons il faut d’abord comprendre l’importance du baccalauréat dans les études. « Le baccalauréat est l’institution la plus visible et la plus voyante du dualisme scolaire. Ce dualisme s’exprime aujourd’hui encore de façon tout à fait explicite dans les discours qui ne le promettent qu’à 80% d’une classe d’âge. Barrière culturelle, barrière sociale : Barrière entre les sexes aussi. Les filles ont longtemps été privées de baccalauréat » page 17
Mars 1924  décret de Léon Bérard (alors ministre de l’instruction publique) institue dans les lycées et collèges de jeunes filles « un enseignement facultatif dont la sanction est le baccalauréat » : application entière des programmes autrefois réservés aux garçons pour une minorité d’élèves, son ambition était « de rendre accessible à une élite d’enfants la culture classique et d’offrir, d’autre part, à la grande majorité des jeunes filles de nos lycées qui n’a en vue que la vie du foyer, l’éducation élevée que le législateur de 1880 lui avait destinée »p18
1971 les filles rattrapent les garçons (78705 bachelières/65024 bacheliers)
Les filles sont meilleures que les garçons à toutes les étapes de l’édifice scolaire pourtant elles ne retirent jamais avantage de cet état de fait : en effet jamais les orientations des filles sont à la hauteur de leur réussite. Les mécanismes d’orientation restent toujours défavorables aux filles.
Chapitre 2 :
Le mouvement de rattrapage des filles est universel
Tableau pages 50/51

On remarque trois tendances dans ce tableau :
-Une corrélation entre la richesse du pays et le taux d’accès aux études supérieures.
-Plus il y a d’étudiants plus il y a d’étudiantes.
-La mesure du développement est presque toujours donnée par l’écart entre les chances féminines et masculines.
On remarque que + le taux