Dans le chapitre 9 de Les mondes de l’art, Howard S. Becker fait la comparaison entre les statuts de l’art et de l’artisanat. Questions au courant, comme la légitimé, le contexte social, la hiérarchie des valeurs et les reconnaissances financières peuvent être réduites a une thème général : le moment historique où le travail a été proposé. La catégorie sociale et culturelle de l’artiste a une histoire propre et un moment intérieur où il se développe.

La mutation de l’histoire provoque un changement constant dans les principes définitionnels de l’art et de l’artisanat, tant au sens de sa réputation que au sein de sa propre organisation. En fait, il y a toujours la revendication intellectuelle et la reconnaissance d’un certain savoir-faire entre les deux qui provoquent plusieurs débats a travers du temps.

Instigué par cette discussion, Becker présent un double mouvement d’origine: quand l’artisanat devient de l’art, c’est-à-dire, la circonstance que l’artisanat est forcement influencé par l’art ; et quand l’art devient de l’artisanat, qu’implique la situation dont l’art se comporte avec les caractéristiques liées a l’artisanat. Dans ce mouvement, l’auteur exprime les contradictions entre les deux, mais aussi les similitudes qui les rapprochent.

A fin de définir l’artisanat, Becker développe trois critères esthétiques qui seront essentiaux pour comprendre son sens : l’utilité, la virtuosité et la beauté. Le premier cas exprime la définition la plus courant et elle affirme que l’artisanat est la réunion de connaissances et de techniques qui peuvent produire objets utiles. Mesuré à partir des critères extérieurs, l’utilité a une forme propre d’organisation et évaluation. Dans ce principe pragmatique, l’artisanat travaille selon les exigences de quelqu’un qui confie à ses compétences pratiques, soi un client, soi un employeur. De sorte que la production se conforme avec les objectives et les besoins d’un agent extérieur aux producteur, qui va le juger et le