LA PESTE de Albert Camus (1913-1960)
Edition Gallimard – Décembre 2007
Roman

I) RESUME RAPIDE

Oran, 194. Dans la ville, plus de six mille deux cent trente et un rats se trouvaient morts. Le concierge, monsieur Michel est mort peu après ce commencement d’épidémie. Tarrou lit ses carnets sur la chronique de cette période difficile. Ces rats infestent la ville et des Hommes meurent tour à tour. Grand témoigne à propos d’une tentation de suicide d’un certain Cottard. Castel vient confirmer au docteur que le nom de l’épidémie est la peste. Rieux et Richard partirent à la préfecture d’une communication sanitaire. Ils en concluent que cela est bel et bien la peste donc ils fermèrent la ville. Les familles sont séparées et isolées. Le journaliste, Rambert veut rejoindre sa femme à Paris mais cela est impossible. Le père Paneloux par un discours incite la population à prier et à s’adresser au ciel. La peste continua d’évoluer et Rambert veut aider le médecin en attendant de rejoindre Paris. Maintenant, les cercueils sont remplacés par les fours crématoires. Leur seule préoccupation est la maladie. Cottard guérit et resta avec Tarrou. Rambert s’installa dans une maison espagnole. Le fils de monsieur Othon tomba malade, son cas devient désespéré alors Rieux essaya le sérum fabriqué par Castel. Mais l’enfant ne survit pas. Paneloux meurt mais Rieux resta dans le doute car il n’avait aucun symptôme. La population est mise en quarantaine dans le stade. A Noël, Grand est malade, on lui injecte alors le sérum et le lendemain son était s’est amélioré, il n’avait plus de fièvre que de la fatigue. On vit pour la première fois depuis Avril des rats vivants. La peste avait l’air de disparaître. Le juge a dû être évacué du camp. D’après les carnets de Tarrou, Cottard est contaminé et entre en démence ce qui provoque son arrestation après des coups de révolver. Tarrou a terminé ses écrits. Un