Fiche made in monde
Préface à l’édition française
Les Français voient la mondialisation comme une menace considérable pour l’industrie et pour l’emploi et comme la cause des pb nationaux : chômage, faillite de la sécurité sociale ou explosion des banlieues. Droite : étrangers indésirables, Gauche : activités et emplois qui quittent la France. Ce que craint le public français, c’est que le impératifs éco n’écrasent les espaces de liberté et de souveraineté politique, que les forces du marché international limitent les options disponibles en matière d’org° éco et sociale.
Pessimistes et optimistes s’accordent sur une idée centrale : la mondialisation limiterait radicalement la gamme des options disponibles face aux pressions du marché. Ce qui est faux.
Ce bouquin est l’analyse d’une enquête réalisée par le MIT sur 5 ans (1999-2004) auprès de 500 entreprises e Am du N, en EU et en Asie et démontre que l’éco mondiale nous laisse encore de nb choix. Des entreprises fast-tech où la techno évolue très rapidement ex. électronique, des secteurs low-tech ex. automobile, pièces détachées pr voitures, textile..
Différentes cultures : les firmes américaines ont toujours opéré dans une sT où les relations entre fournisseurs, fabricants et clients étaient organisées sur le mode de liens contractuels ( progression rapide des innovations et ruptures technologiques puisque acceptation de voir disparaître des entreprises en difficulté pour recombiner et réintégrer les ressources pour un usage plus productif. Les firmes japonaises opèrent dans un monde de relations humaines pérennes, sur le long terme, où les savoirs se transmettent aisément au sein d’un groupe. Elles réussissent particulièrement lorsqu’une relation étroite et quotidienne est nécessaire. réticentes à fragmenter, elles dominent l’électronique numérique, secteur qui évolue si vite qu’il peut être avantageux de contrôler dans une même usine tous les composants des nouveaux produits.
Première partie :