Fiche récapitulative
La connaissance qui ne s’accompagne pas de morale conduit l’homme à sa ruine. Au nom du progrès, l’homme ne se fixe aucune limite. Les progrès en matière de biologie et dans le domaine des technoscienses laissent entrevoir des possibilités inquiétantes. Cette phrase semble aujourd’hui d’actualité. Rabelais annonçait l’un des défis majeurs de notre modernité, celui d’une nécessaire réflexion sur les applications et la finalité de la science.
Les grands thèmes du sujet:
- le progrès scientifique
- la bioéthique
- le cadre légal
A retenir : La bioéthique : « L’éthique se définit comme l’ensemble des normes que s’assigne un groupe ou une société, qui veut garder le sens de la mesure. L’éthique biomédicale tend à préserver le sens de l’humain dans une société de plus en plus dominée par la science et la technologie ». Professeur Jean BERNARD, Président d’honneur du Comité d’éthique français.
Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), ou plus exactement le Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé a été créé par décret du 23 février 1983. C’est un organisme habilité à donner des avis sur les problèmes d'éthique relatifs aux applications et développements de la science.
Problématique et plan : La science doit-elle être limitée ? Nécessite-t-elle une réglementation spécifique ? Quelles questions éthiques, morales soulèvent-elles ?
La science, source de progrès et créatrice de nouveauté
Les progrès de la science naissent du besoin humain
Des progrès qui permettent une amélioration des conditions de vie
La science, une activité imprévisible qui choque
Les abus et dérives de la science
Les questions éthiques soulevées
La science, un domaine qui nécessite une réglementation particulière
La nécessité d’évaluer les conséquences de la découverte
L’utilité publique: une finalité pour la science
Conclusions essentielles: La