Fiche signalétique des personnages de Candide
Candide : Il est, comme son nom l’indique, naïf. Voltaire le decrit comme simple d’esprits : « sa physionomie annonçait son âme ». Il croit dur comme fer la philosophie de Pangloss et ne l’abandonnera qu’a la fin du récit où il sera le seul à reprendre ses esprits et se mettre au travail.
Cunégonde : Candide est obligé de quitter le château à cause de son amour pour elle : le père de Cunégonde les surprend en train de s’embrasser. C’est pour sa beauté que Candide l’aime, une fois devenue laide, il ne l’aime plus.
Pangloss : Pangloss se dit philosophe, il avance des théories inspirées de Leibnitz sur l’optimisme qui deviennent de plus en plus ridicule au cours du récit. Voltaire qui n’aime pas ce genre de personnage nous montre la stupidité de cette philosophie a travers tout ce roman.
Cacambo : Il a de l’expérience, il sait quoi faire en toute circonstance. Il aide beaucoup candide, en lui donnant d’importants conseils.
Jacques : Il est moins terre à terre que Cacambo mais il est très généreux, trop même. Il incarne l’humaniste qui malgré ses bonnes intentions est la victime de notre société cruelle. On peut voir que l’absence de réalisme de ce personnage peut être mortelle. Il aide grandement Candide.
Martin : Il est très terre à terre à cause de ses expériences malheureuses. Il donne de bons conseils à Candide qui sont tout le contraire de ceux de Pangloss puisqu’il est pessimiste. Candide aime débattre avec lui de leurs différents opinions .
La vieille : Elle est d’excellents conseils et aide beaucoup Candide et Cunégonde. Elle a eut énormément de malheurs et reste réservée quant à l’optimisme de Candide.
Abbé périgourdin : C’est un parasite qui vole Candide par supercherie et en l’emmenant chez une amie qui le vole aussi.
Gouverneur : Le gouverneur de Buenos-Ayres : Don fernando d’Ibaraa, y Figueora, y Mascarenes, y Lampourdos, y souza est très prétentieux et veut se marier avec Cunéguonde des la