Figures de l exil ppo 1
M:DLL
Option
Faculté des Lettres et des
Sciences Humaines
Kénitra
LES FIGURES DE DANS LA LITTÉRATURE
FÉMININE MAGHRÉBINE:
ZEIDA DE NULLE PART, DE LEILA HOUARI
Elaboré par :
Fawzi Abdellatif
Bouhassoune.
Maazaz Nawal
Khadija Driouch
Professeure :
Mme Farida
Année scolaire: 2013/2014
PLAN
Biographie.
L’écriture des femmes et la femme arabe dans l’écriture. La littérature maghrébine de l’immigration :
Une littérature semi-autobiographique.
L’impossible retour ou la littérature de l’exil.
Conclusion.
Bibliographie.
BIOGRAPHIE
Leïla
Houari est née en 1958 à Casablanca
(Maroc). Sept ans après sa naissance, ses parents s’exilent à Bruxelles. En quête d’identité, elle décide de retourner au
Maroc, espérant y trouver une réponse à ses questions. L’expérience lui apprend que choisir entre culture arabe et culture européenne lui est impossible et décide de ne plus rendre de compte. Très tôt, elle exprime à travers l’écriture ses émotions, ses angoisses, ses interrogations. Les formes en sont multiples : romans, nouvelles, théâtre, scénari, réalisation. En
1996, elle s’installe à Paris.
Ecrivain, journaliste, femme de théâtre,
Leïla Houari témoigne de son temps des difficultés à la double appartenance culturelle. Elle participe à des animations théâtrales, donne des cours d’alphabétisation et s’adonne à sa passion de toujours, l’écriture, « l’envie des mots ».
Première lauréate du prix Laurence Trân, son roman Zeida de nulle part (L’Harmattan)
L’ÉCRITURE DES FEMMES ET
LA FEMME ARABE DANS
L’ÉCRITURE :
Si la revendication des femmes passe d‘abord par le discours de l‘homme (Driss Chraibi,
Abdelhak Serhane), le travail en langue française accompli par des universitaires et des sociologues marocaines comme Fatima Mernissi (Sexe,
Idéologie, Islam, 1983 ; Le Maroc raconté par ses femmes, 1984), Soumaya Naaman-Guessous (Audelà de toute pudeur, 1989), ou Souad Filal
(L’Incontrôlable désir, 1991), a largement ouvert la voie à