Fling wide the economist
L’inde est un pays dans lequel il est difficile d’obtenir des visas ou des investissements pour les entreprises alors que pour relancer la faible économie intérieure et ses besoins d’investissements, il faut importer du capital, en particulier les investissements directs étranger. Cependant, en 2010, l’Inde avais 24 milliards de dollar en investissements directs étranger, soit presque trois fois moins qu’en 2009. Ceci est la conséquence de la corruption, d’une forme de bureaucratie particulière et de la difficulté d’obtenir des terrains. Ces problèmes doivent être réglés pour le bien des entreprises locales et internationales. Mais dans beaucoup de zones, les entreprises étrangères ne peuvent pas entrer complètement dans le pays.
La bureaucratie indienne sait que cela doit changer. L’Inde commence à entreprendre des réformes pour diminuer ce protectionnisme. Il n’y a pas de supermarché dans un pays d’ 1,2 milliards d’habitants, mais seulement des superettes. L’ouverture du pays à des firmes comme Carrefour permettrait aux indiens d’acheter des produits ayant un bon rapport qualité/prix sans mettre en péril les superettes puisqu’elles rempliraient leurs stocks depuis les supermarchés avec moins d’intermédiaires. Cela évitera également le gaspillage des fruits et légumes, mal conservés en Inde.
L’inde est un pays dans lequel il est difficile d’obtenir des visas ou des investissements pour les entreprises alors que pour relancer la faible économie intérieure et ses besoins d’investissements, il faut importer du capital, en particulier les investissements directs étranger. Cependant, en 2010, l’Inde avais 24 milliards de dollar en investissements directs étranger, soit presque trois fois moins qu’en 2009. Ceci est la conséquence de la corruption, d’une forme de bureaucratie