Dissertation sur la société de Ngole Beni : « un retour aux fondamentaux ».

A travers les époques, les sociétés changent, « évoluent » ce qui entraîne un bouleversement des mœurs et des valeurs de celles-ci. Ces nouvelles règles de la vie en groupe agissent comme un moyen de pression. En effet, l'individu ressent un besoin de conformisme à tout prix dans le but de ne pas être exclu. Lorsque la communauté prône des valeurs honorables, il n'y a pas lieu de s'inquiéter, cependant lorsqu'elles sont honteuses et confuses, il est nécessaire d'y résister! Comme exprimé par le pape Benoit XVI : « Allez à contre-courant, n'écoutez pas les voix qui sont nombreuses à faire la propagande de modèles de vie fondés sur l'arrogance et la violence, le succès à tout prix, l'apparence et les possessions matérielles ». En effet, la pensée individualiste de notre civilisation basée sur un système égocentrique, dans lequel l'accent est mis sur les possessions matérielles privées, l'enrichissement à tout prix qui est traduit par le profit maximum...

Cependant est-il possible de remporter une guerre face au monde, à l'humanité? Didier Érasme ne dit-il pas que «c'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans un monde de fous»? Il faut effectivement reconnaître que s'exclure des pratiques qui régissent la vie en société est un acte de «folie». D'ailleurs certaines personnes sont considérées comme folles, quoi que possédant toutes les capacités nécessaire, du fait de leur mise à l'écart volontaire de la communauté. En effet, un athlète qui, dans la discipline d’un sport comme le basket, s’isolera de ses coéquipiers par faute d’accord sur la mise en place d’un mode de jeu, sera insensé. On ne peut risquer d’aller à l’encontre de la société à certains moments, effectivement lorsque la communauté fait un choix pour tous, il est indispensable de s’y soumettre.

Tandis que le monde vente la pensée personnelle et la réussite à tout prix, qui est à l’origine de la crise