Fontenelle
Toute la structure du texte s’articule autour de l’anecdote, qui est au centre
L’idée essentielle du texte 2 premières phrases. Première phrase une recommandation faite à l’impératif, et à la première pers du pluriel. Narrateur, impliqué dans la démarche.
La deuxième phrase objection, qui explique pourquoi les gens n’appliquent pas cette méthode. Ici le narrateur se sert d’une métaphore : « pour la plupart des gens qui courent naturellement à la cause », pour évoquer la précipitation des gens : conséquence : « Le ridicule » ligne 4
(L.5-6 ) C’est un exemple qui est évoqué comme un fait historique, et qui parait donc fiable. Cet exemple est situé dans l’espace : « en Allemagne » L.6, et est situé dans le temps « la fin du siècle passé », ligne5
Nous avons aussi l’adverbe « plaisamment », qui annonce le registre du texte comique et qui s’oppose au « malheur » L.5
Il occupe la + grande partie du texte, de la ligne 7 à 21. Ce récit est mis en relief, par l’utilisation de guillemets.
La fin du texte généralise le comportement décrit précédemment, dans tous les domaines de la pensée, et réfléchit sur les relations entre l’homme et l’erreur
.
II /
Ce récit a pour but de souligner le ridicule des comportements
Précision différentes étapes du travail des savants, avec situation dans le temps : « 1593 » « 1595 » « En la même année » « Deux ans après » Quant aux savants, ils sont cités par leur titre.
Les noms des savants ont des consonances latines : ils se finissent en « usse » Or le latin est la langue des sciences, et de l’église. De plus chaque savant est associé à un titre prestigieux : « un médecin », ligne 9 ; « un historien » ligne 14 ; « un savant » ligne 14 et « autre grand homme » ligne 16.
Dans ce passage, il y a aussi des querelles entre les savants, elles sont mises en valeur, lignes 15-16. L’ironie du narrateur transparait dans l’éloge « belle et docte réplique ».
Le narrateur intervient, pour souligner ce qui est