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13 mars 2013
Fin Chapitre 3 : La BCE
3) La politique monétaire et l’élargissement de l’UEM
Depuis le 01 janvier 2007 l’UE est composée de 27 membres => futur proche élargissement de la zone euro (au delà des 17 membres actuels).
Problèmes :
Composition du Conseil des gouverneurs (23 membres actuels qui décident d’abaisser ou augmenter le taux directeur, à terme 10 de plus ?)
risque de paralysie de la BCE car beaucoup trop de membres (pour se mettre d’accord à l’unanimité c’est très compliqué) Risque que les « petits » pays économiques ne s’entendent pour imposer aux « grands » un certain nombre de décisions. (coalitions entre les petits pour mieux s’imposer).
Réformes envisagées : limiter le nombre de gouverneurs dans le Conseil des gouverneurs à 15 + rotation des membres : renforce le manque de légitimité démocratique de la BCE, représentation des intérêts européens.
Conclusion du chapitre :
Son action ?
Bilan plutôt positif car elle a été plus flexible que ce que l’on craignait au départ ( 2nd pilier et distance par rapport à l’inflation ) = elle a pris en compte l’évolution de la conjoncture malgré son objectif de départ qui est de lutter contre l’inflation.
Dans la crise ?
Un peu tôt pour faire un bilan, mais une critique : retard systématique de la BCE sur la FED. Ok sur les taux, mais intervention équivalente en terme de volumes d’intervention et de nombreuses mesures non conventionnelles.
Impact des mesures non conventionnelles ? Achats de titres de dette par les BC permettraient de réduire les ti à long terme. Effet plus ambigus des apports de liquidités (pas ou peu d’effets sur le marché interbancaire). Effet du risque pris par la BCE en élargissant les collatéraux acceptés. Effet possible sur l’inflation. (risque augmentation inflation ?)
CHAPITRE 4
La politique budgétaire et le fédéralisme en question
Contrairement à la PM unifiée au sein