Football

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L’expression « ce qui saute aux yeux » peut être utilisée dans différents contextes mais fait toujours référence à l’apparence, à ce qui nous apparaît. Par exemple un bâton dans l’eau paraît brisé. Mais cette apparence est trompeuse. En effet le bâton paraît brisé mais ne l’est pas. Aussi il semble qu’il y ait un conflit entre l’apparence « ce qui saute aux yeux » et la réalité. Mais s’agit-il d’un rapport de la vérité à l’apparence ? Nous pouvons prendre la notion de vérité dans un sens précis celui de correspondance. Ce qui est vrai sera alors ce qui correspond à la réalité. Notre représentation d’un objet, par exemple le bâton, sera vraie si elle s’accorde avec son objet. L’apparence peut donc contredire la vérité, elle présente le bâton brisé alors qu’il ne l’est pas. Pour autant pour mieux comprendre ce qui est en question ici il faut approfondir la notion d’apparence. De quoi parle-t-on quand nous parlons de « ce qui saute aux yeux » ? L’organe sensoriel auquel fait référence le sujet est la vue, il s’agit plus largement de la perception qui comprend les cinq sens par lesquels nous sommes en rapport avec ce qui nous entoure. Or si la vérité n’est pas donnée par la perception, autrement dit si la perception nous trompe, notre rapport au monde extérieur, qui est médié par la perception, est-il nécessairement faux, ne nous délivre-t-il qu’une vision trompeuse de la réalité ? Si la perception dans le cas du bâton brisé

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