force
— On accepte le coup du sort : on meurt, vaincu. On accepte le coup du sort ( ses conséquences) : on fait en sorte de vivre avec les nouvelles données. Pour vivre avec, on se tourne vers autrui; on ne s'enferme pas dans son acceptation sinistre de la chose. On compense la perte, la blessure, par une volonté souriante. On ne serre pas les poings, on tend les bras.
— On refuse le coup du sort : on geint et s'apitoie. On devient aigre. Comportement négatif mais acceptable. On refuse le coup du sort : on se bat pour le "dépasser".
— On accepte le coup du sort : on meurt, vaincu. On accepte le coup du sort ( ses conséquences) : on fait en sorte de vivre avec les nouvelles données. Pour vivre avec, on se tourne vers autrui; on ne s'enferme pas dans son acceptation sinistre de la chose. On compense la perte, la blessure, par une volonté souriante. On ne serre pas les poings, on tend les bras.
— On refuse le coup du sort : on geint et s'apitoie. On devient aigre. Comportement négatif mais acceptable. On refuse le coup du sort : on se bat pour le "dépasser".
— On accepte le coup du sort : on meurt, vaincu. On accepte le coup du sort ( ses conséquences) : on fait en sorte de vivre avec les nouvelles données. Pour vivre avec, on se tourne vers autrui; on ne s'enferme pas dans son acceptation sinistre de la chose. On compense la perte, la blessure, par une volonté souriante. On ne serre pas les poings, on tend les bras.
— On refuse le coup du sort : on geint et s'apitoie. On devient aigre. Comportement négatif mais acceptable. On refuse le coup du sort : on se bat pour le "dépasser".
— On accepte le coup du sort : on meurt, vaincu. On accepte le coup du sort ( ses conséquences) : on fait en sorte de vivre