Formes d'internationalisation
I. Internationalisation
1. Motivation à l’international
a. Accéder à de nouveaux marchés (Pour cause, une saturation du marché d’origine)
b. Diversification du risque
c. Profiter d’une baisse des coûts grâce aux économies d’échelles (Pour investir au niveau industriel par exemple)
d. Conforter son avantage concurrentiel (Toyota qui va aux Etats-Unis)
Il faut arbitrer entre le global (Qui va permettre de réduire les coûts) et le local qui va nécessiter une adaptation (au niveau de la culture par exemple).
2. Choix du marché (Pays, zone du monde)
a. Le PESTEL va être utilisée comme outils pour ce choix.
Pour choisir un marché, il faut forcément faire un PESTEL pour savoir si il faut s’internationaliser. (Exemple : sur le plan politique, l’état encourage-t-il les investissements étrangers ? Disney a été encouragé en France, subventions de l’état)
Autre facteurs décisif : Stabilité gouvernementale et stabilité de la monnaie, niveau d’Equipement des ménages, niveau de chômage, etc. (PESTEL)
b. Associer le PESTEL à un modèle de CAGE :
Mesurer la différence culturelle, administrative, géographique, et économique (économique : Riche, pas Riche. Les entreprises des pays en développement ont plus de mal à s’adapter aux pays développés et vice-versa) entre les deux nations (origines et implantation / Culturelle : La langue, l’ethnie, la religion).
3. Formes d’internationalisations
La forme la plus souple d’internationalisation est l’exportation
Le licencing ou la franchise (La maison mère se voit racheter les droits de vente, et le local reverse des royalties à la maison mère). On bénéficie d’avantages comme la connaissance du marché par l’entreprise locale, Présence physique sur place contrairement à l’exportation, meilleure visibilité de la marque, finance plus stable, car le CA est en général déterminé lors du contrat, par contre un risque majeur qui est la nuisance de l’image si le cahier des charges n’est pas respecté).